La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son poste de travail dans l’ombre tamisée de son manufacture. Son boulot à tisser, fidèle animal de compagnie de ses guidances silencieuses, laissait se modifier des fils d’or et de soie entre ses mains. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque vivant, par exemple si cha

Mélina sentit son entendement se sceller. Sous la surface obscure du lac, une onde légère se forma, impressionnant l’image figée des étoiles nocturne. Un frisson remonta le long de son échine. Elle aurait du se croire à une ample illusion, une brise soudaine sur l’eau zen, mais quelque chose en elle savait que ce n’était pas le hasard

Au fil de ses consultations, Isabelle en vint à faire que ses envies divinatoires lui permettaient non seulement de fasciner des des festivités destinées, mais de plus de assimiler les intentions et les but de celles qui l’entouraient. Elle développait une envie à percevoir les dynamiques intangibles de ses collègues, à compter les non-dit